Nicolas Maduro : Le Venezuela vit une
rénovation permanente de confiance dans la Révolution
CARACAS.—.
Le président du Venezuela, Nicolas Maduro, a déclaré
dimanche 13 avril que « le Venezuela vivait une
période de rénovation, d’attachement et de confiance
dans
la
Révolution bolivarienne »,
déclare l’agence AVN.

« C’est le
temps de l’engagement avec l’héritage extraordinaire et
sacré que nous a légué le commandant Hugo Chavez. C’est
le temps de la rénovation permanente de cet attachement,
de cette confiance »,
a-t-il dit devant des milliers de partisans rassemblés à
l’occasion de la Journée de la Dignité nationale.
À ce sujet,
il a souligné qu’un 13 avril [2002], le peuple avait
sauvé le commandant Hugo Chavez, et redonné à la
République son caractère démocratique, après le coup
d’État perpétré deux jours plus tôt par la droite
vénézuélienne.
« Ce fut
une insurrection civique et militaire qui sauva Hugo
Chavez et restaura la démocratie vénézuélienne. Le 13
avril se sont unies le soulèvement populaire et la Force
armée nationale bolivarienne (FNAB) »,
a-t-il affirmé.
Et
d’ajouter que le peuple vénézuélien n’aurait plus jamais
de gouvernement dictatorial comme celui qui prit le
pouvoir le 11 avril 2002 pendant 48 heures, car l’unité
du peuple et de la FNAB est une garantie de la
continuité de la Révolution bolivarienne et de
l’héritage de Chavez.
Le
président vénézuélien a indiqué qu’au cours des 12
derniers mois le gouvernement bolivarien avait créé 7
nouvelles universités et 7 missions médicales, évoquant
également les victoires obtenues par les forces de la
Révolution après le décès d’Hugo Chavez.
Par
ailleurs, Nicolas Maduro a signalé que depuis un an,
cette même oligarchie qui attaqua Hugo Chavez pendant
toute sa période de gouvernement a déclenché « une
guerre économique continuelle et permanente, par le
biais de la contrebande, de l’inflation provoquée, de
l’accaparement, du sabotage économique, de la guerre
contre le système électrique, la guerre psychologique et
aujourd’hui les "guarimbas" (troubles publics violents)
fascistes, pour déstabiliser l’État », a-t-il
conclu.
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