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La Havane. 24 Septembre  2014

Le blocus : une politique contre la vie

Il est bon de conseiller à ceux qui persistent à qualifier le blocus économique d’ « embargo » de jeter un coup d’œil au Rapport qui sera présenté par Cuba au mois d’octobre prochain à l’ONU sur les dommages provoqués par cette politique irrationnelle du gouvernement des États-Unis dans des secteurs tels que la santé publique. La lecture de document suffirait à écarter cet euphémisme ou tout du moins le remettre en question.

Dans un pays comme Cuba, où le système de santé n’est pas un marché juteux pour quelques personnes, mais un droit universel accessible à tous, sans discrimination, les interdits ou les difficultés d’accès aux médicaments, aux réactifs, aux pièces de rechange pour les appareils de diagnostic et de traitement, et au matériel chirurgical, entre autres, ne sauraient être vues, tant s’en faut, comme des sanctions économiques.

Même si, comme le confirme le rapport sur la Résolution 68/8 de l’Assemblée générale de l’ONU intitulé « Nécessité de lever le blocus économique, commercial et financier imposé à Cuba par les États-Unis d’Amérique », seule une partie de ces dommages peut être calculée en termes monétaire, leur coût pour cette période n’en est pas pour autant négligeable.

Selon le ministère cubain de la Santé publique, d’avril 2013 à juin 2014, les dégâts provoqués par cette politique hostile sont estimés à 66,5 millions de dollars, sans tenir compte que derrière de ces obstacles ou de ces limitations, la vie d’êtres humains est mise en danger.
 

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